Pour approfondir plus de solutions pour sortir du burn-out maternel et acquérir les outils pour instaurer un changement profond et durable, tu trouveras ici 1 programme complet et gratuit. Ce programme est fourni et généreux, je le considère presque comme une « formation » précieuse, grâce à laquelle tu vas pouvoir vraiment transformer et améliorer ton quotidien.
En effet, pour se sortir durablement et profondément d’une situation compliquée et désagréable comme celle du burn-out maternel, il est essentiel de comprendre ce qu’il se passe pour pouvoir mieux agir ensuite de manière plus directe et plus efficace. C’est exactement ce que je veux pour toi avec ce programme offert : que tu aies toutes les cartes en main pour savoir précisément contre quoi tu te bats et mieux t’en sortir ensuite.
En t’inscrivant à ce programme, tu auras accès aux 7 clés pour sortir durablement de l’épuisement maternel et retrouver ton énergie, ta joie de vivre et le plaisir d’être maman !

Bienveillance, lucidité et réalité
Pour commencer, je tenais à te préciser qu’il y a une multitude de manières de voir, comprendre et solutionner le burn-out. Aux vues de mes 8 ans d’expériences en tant que coach parentale, de mes observations et de mes formations, j’en ai tiré des origines et des solutions. Mais mes outils et techniques ne sont pas forcément les mêmes que ceux que tu pourrais trouver chez un psychologue, ni chez une hypnothérapeute ou encore chez un médecin généraliste. C’est un peu comme pour des crêpes tu vois, il existe une multitude de recettes ! Certaines avec de la Maizena, plus ou moins de sucre, certaines avec de la bière, d’autres avec du lait végétal … Et bien pour moi c’est un peu la même chose avec les solutions pour sortir du burn-out maternel.
Ce que tu vas lire ici est donc MA vision de ce qui conduit les mamans, et globalement les femmes, au burn-out ainsi que MA recette pour ne pas y entrer ni replonger. Je vais te partager ici ce qui a marché pour moi et pour toutes les femmes que j’ai eu la chance d’aider à sortir de ce cercle vicieux. À toi de voir ensuite si ma recette t’appelle et te met en appétit 😉.
Je voulais te préciser aussi que j’ai écrit cet article il y a plusieurs années, quand je m’appelais à l’époque Club des parents dépassés (pour que tu puisses comprendre pourquoi tu trouveras ce nom dans cet article 😉). Aujourd’hui mes mots restent absolument les mêmes, mais aux vues de commentaires qui se sont accumulés au fils du temps, je tiens à te prévenir déjà tout de suite que dans cet article
il y a une vision, des explications et des solutions enracinées dans la discipline positive, l’empathie, le bien vivre ensemble et le respect mutuel parent/enfant.
J’ai aussi écrit cet article à l’époque où ma grande avait 8 ans et mes jumelles 4 ans.
Cet article te parle donc d’une vie on ne peut plus réelle !
Et je t’y partage des exemples et témoignages de mamans dont la vie et la transformation grâce au coaching est on en peut plus réel !
Donc si tu penses que tout ça c’est bien mignon, Bisounours, pas réaliste, bien dans les livres mais pas possible dans la vraie vie … tu vas peut-être te crisper à la lecture du contenu qui va suivre qui ne va pas du tout te parler ni te plaire !
Si par contre, cette vision t’appelle et que tu as vraiment décidé que tu voulais mettre en place des solutions pour te sortir du burn-out maternel, cet article est une ressource formidable ! Et si tu veux même encore plus creuser et démarrer un vrai et profond changement, je te mets à la fin de cet article, les liens vers encore plus de ressources, d’outils, et d’idées pour définitivement te sortir du burn-out maternel ou ne pas y retourner si tu y as déjà plonger et être une maman heureuse et épanouie pour tout le reste de ta vie. Bonne lecture ! 😃
Comprendre ce qu’il se passe pour ne plus être un parent épuisé et dépassé … ou en tous cas moins souvent !
Il existe plusieurs pistes pour apaiser ton état … Tout d’abord, bravo à toi, d’avoir osé faire cette recherche qui t’a conduit sur cette page et bravo à toi de faire un premier pas vers ce tabou tellement lourd à porter de la parentalité subie.
Et rassure toi, cette situation est vécue par BEEEEEEEEEEAUCOUP plus de parents que tu ne le penses ! À commencer par moi ! On ne crée pas le Club des parents dépassés par hasard ! Il y a 10 ans, quand ma fille de 4 ans faisait crises sur crises et que ses sœurs jumelles de 8 mois faisaient des terreurs nocturnes, je n’avais qu’une envie, fuir fuir fuir tellement je ne supportais plus cette vie de maman infernale. Et même ceux qui ont l’air de bien gérer vivent ce genre de choses et d’émotions ! Ça ne règle pas ton problème tu me diras, mais parfois ça aide de savoir que l’on n’est pas seule …

Le burn-out maternel/parental (ou l’épuisement maternel/parental) est un sujet délicat. Ma démarche en accompagnement face à une situation est très souvent de tenter de déceler l’origine de la difficulté pour essayer de trouver la réponse et la solution la plus appropriée. Dans le cas du burn-out, comment mettre le doigt sur l’origine?
Le burn-out, est un état d’épuisement et de stress extrême. Quand on en arrive à ce stade et à ne plus supporter son enfant (ou sa vie), est-ce à cause de son comportement, que l’on trouve difficile à supporter, que l’on ne comprend pas et donc que l’on ne gère pas comme on le voudrait? Ou est-ce notre comportement à nous les parents qui stresse notre enfant qui par conséquent commence à se comporter de manière inappropriée? Le stress de qui déclenche ce cercle vicieux? Sans doute un peu des 2 à la fois jusqu’à ce que l’on ne sache plus par ou prendre le problème …
Sans parler de l’ombre de plus en plus pesante de la culpabilité et du jugement qui s’installe lentement mais sûrement et qui viennent finir de parfaire cette situation tellement douce et agréable, n’est-ce pas?!

Le mauvais stress (parce qu’il existe quand même aussi le “bon” stress) et la fatigue (voire l’épuisement) sont pour moi les ennemis jurés des familles ! Et je constate tous les jours en RDV ou en atelier les effets qu’ils peuvent provoquer sur nos cerveaux et donc sur nos attitudes À TOUS, parents comme enfants. Les enfants peuvent faire des crises, (se) taper, (se) mordre, jeter des jouets … Et nous les parents pouvons aussi crier, secouer, taper, avoir envie de partir et de tout quitter.
Et depuis que j’ai identifié ce stress et ce manque d’énergie comme la source de nos crises et conflits familiaux il est sous haute surveillance aussi bien chez moi que chez les familles que j’accompagne …
Comment canaliser ce stress pour nous, les parents et retrouver plus d’énergie?
La première piste des 3 solutions pour sortir du burn-out maternel ou ne plus y retourner, est une combinaison de 2 actions conjointes, et qui aident énormément de mamans :
PRENDRE SOIN DE TOI + AMENER TES ENFANTS VERS PLUS D’AUTONOMIE
Quand on devient parent, c’est une évidence le temps manque tout le temps et il faut tout le temps s’occuper de quelqu’un d’autre. Et si l’on n’y prend pas garde on finit par ne plus s’accorder suffisamment de temps, voire carrément plus du tout … Et comme je te l’explique ici, dans ce programme spécial « solutions au burn-out » 100% offert, si ta batterie est à plat et que tu n’as plus d’énergie, tu auras beaucoup de mal à gérer et même juste supporter n’importe quelle situation ou comportement.
Ce que j’entends le plus souvent quand je dis ça c’est “je n’ai pas le temps” … et on est bien d’accord que ce temps aujourd’hui “il n’existe pas”! Mais il va absolument falloir le créer. Comment?
1 – Remplace des tâches par des moments pour toi
Même juste 5 min par jour ! Commence déjà par prendre le temps de faire une liste d’au moins 5 choses qui te feraient du bien : bain, boire un verre avec une amie/ma moitié, lire un livre, faire du sport, faire une sieste … Je ne te connais pas, je ne sais pas ce que tu aimes et ce qui te réconforte ni te dynamise alors adapte cette liste à tes goûts et à ta personnalité. L’idée est de mettre sur cette liste des choses qui te détendent et qui sont des loisirs, pas d’autres tâches encore du genre, mettre à jour ma paperasse, nettoyer tous mes placards ou autres ! Ensuite, dans les prochains jours et/ou semaines mets des choses en place pour pouvoir faire les activités de ta liste.
Et en effet, le temps n’est pas étirable et il n’y a que 24h dans une journée et 7 jours dans une semaine c’est pourquoi on doit souvent remplacer une tâche par un loisir ! Ça n’est pas si simple à faire et ça peut prendre du temps. Par ex, si un de tes loisirs est d’aller courir cela demandera plus d’organisation (trouver une baby-sitter notamment) que de juste se faire couler un bain. Mais fais une action par jour pour rendre possible ce loisir et ce sera déjà PRENDRE SOIN DE TOI.

Et, autre ex, si pour toi il n’est aujourd’hui pas concevable de prendre 30 min pour lire un bon livre alors que tu as tonne de linge à repasser, il te faudra peut-être du temps pour lâcher-prise sur le repassage … BREF, L’IDÉE ICI EST DE COMMENCER À FAIRE DE TOI UNE PRIORITÉ ! Tout simplement parce que si toi tu t’écroules, qui va tenir la barque? Si tu t’écroules au point de ne plus pouvoir bouger, est-ce que vraiment du linge pas repassé sera le plus important?
( Suite à certains commentaires qui me disaient que tout ça c’était bien mignon au pays des Bisounours mais impossible dans la vraie vie, j’ai détaillé ici cette partie « prendre soin de soi » pour sortir du burn-out maternel )
2 – Rends tes enfants plus autonomes
Afin de te dégager plus de temps encore. Il existe pleins d’outils et de techniques, que je te transmets sur mes réseaux sociaux FB et Instagram ainsi qu’en coaching individuels, super faciles et efficaces à mettre en place pour amener tes enfants à faire leur routine du matin et du soir en autonomie, à trouver seul(e) de quoi s’occuper quand ils s’ennuient, à respecter des temps calme de sieste ou de repos, à accomplir certaines tâches de la maison … en plus de te libérer du temps, toutes ces actions, amenées progressivement et selon l’âge, participent à la construction de la confiance en soi des enfants et alimentent leur sentiment d’appartenance et de contribution à leur famille.
Oui tu as bien lu : mettre toutes ces choses en place te libère du temps pour toi ET en plus fait grandir leur confiance. Pourquoi s’en priver ?!?!?!!?!?!?!?!?

Tout ceci dans le but de déjà recharger tes batteries, te sentir plus sereine face aux crises de ton enfant ou aux évènements de la vie et pouvoir ensuite enclencher d’autres changements. Tu peux même d’ailleurs aussi leur dire que tu es très fatiguée ACTUELLEMENT et qu’à partir d’aujourd’hui tu vas faire les choses différemment afin de retrouver de l’énergie. Même très petits et à 18 mois, les enfants peuvent tout à fait sentir l’intention derrière ce que tu leur dis. Ça ne veut pas dire qu’ils vont arrêter de pleurer pour autant mais c’est important de leur partager malgré tout ton intention. Et ton intention est bonne : tu veux que votre vie à tous s’améliore !
Comment maintenant, canaliser ce stress et cette fatigue pour nos enfants et les apaiser?
Ces 2 solutions pour sortir du burn-out maternel sont une première piste vraiment très efficace à explorer et un excellent point de départ qui aura déjà des effets sur toi bien évidement et aussi des effets sur le comportement de ton/tes enfants car en effet, si tu es moins stressée, tu lui transmets moins de stress et donc forcément son comportement sera différent.
Sache maintenant que les crises des enfants et nos réactions face à ces crises ont de multiples sources et donc de multiples autres solutions. C’est d’ailleurs ce que nous faisons en accompagnement individuel : chercher toutes les sources de comportement inapproprié et leur trouver des solutions adaptées.
On l’a évoqué aussi un peu plus haut, les jeunes enfants, sous l’effet du stress peuvent adopter toutes sortes de comportements que l’on peut juger inappropriés. Ils peuvent faire des crises, (se) taper, (se) mordre, jeter des jouets, cracher … et parfois même, oui, s’agresser eux-mêmes physiquement … ce que 2 de mes filles ont fait quand elles étaient petites … assez difficile à regarder et tellement d’impuissance face à cette situation … Et il y a aussi les comportements « moins dérangeants » mais qui restent des comportements « sous stress » comme l’isolement, le replis sur soi, le mutisme …
1 – Fais baisser son stress
Quand j’observe cela dans les familles aujourd’hui, une seule consigne : faire baisser ce stress. Selon l’âge des enfants, s’il parlent ou non, on tâtonne un peu parfois avant de trouver ce qui est efficace pour chacun.
Et c’est le même principe que pour ta liste des 5 choses qui te font du bien. Eux aussi ont la leur et l’idée est de trouver ce qui leur fait du bien. Son doudou, bisous, chatouillis dans le dos, écouter une histoire, chanter des chansons, danser comme des fous … tout ce qui peut apaiser et faire recharger la batterie avant de faire quoi que se soit d’autre.
Quand il fait des crises ton enfant ne cherche pas à te nuire, il t’envoie le message “j’ai perdu le contrôle, aide moi à me calmer”. Ce message est souvent très mal interprété par nous, les parents, qui finissons par crier, sévir, punir pour maitriser tout de suite ce caprice … qui n’en est pas un tu l’auras donc compris. C’est plutôt un message de demande d’aide qu’un caprice. Là aussi on peut leur parler, leur dire qu’on est là, qu’on va les accompagner et chercher avec eux comment faire pour leur apprendre à gérer leur stress.
Changer ton regard sur les comportements inappropriés de tes enfants peut considérablement changer ton quotidien ! Comme me le raconte Véronique, déjà après son premier RDV de coaching « Je voulais juste te remercier pour tout ce que tu m’as appris vendredi dernier. Mon regard a changé et les conséquences sont fulgurantes! C’est tellement merveilleux, merci infiniment! » Et aujourd’hui sa relation avec sa petite fille e 5 ans est beaucoup plus apaisée et complice : « Et merci aussi de la part de Lilou qui me dit tellement souvent que je suis gentille « .
Et tout ça vaut aussi pour des enfants plus grands ou des ados avec des solutions évidement adaptées à leur âge, du genre, faire un ciné, sortir avec des amis, jouer aux jeux vidéos, aller faire du sport …
2 – Remplis son réservoir de présence
En effet, on observe parfois que les enfants ont des comportements difficiles à supporter et inappropriés quand ils sont en manque de leur parent. Dans ces cas là, Ils ne cherchent pas non plus à nuire à leur parent, ils cherchent à attirer l’attention et te disent “regarde moi, je suis là, parle moi”.
On passe beaucoup de temps avec nos enfants pour la vie de tous les jours mais pas nécessairement pour jouer et échanger avec eux, en se regardant, en s’accordant de l’attention … Et les enfants ont pourtant extrêmement besoin de ces échanges. L’idée serait donc de ne plus juste vivre “en parallèle” mais de partager nos vies. Et ton cerveau est peut-être déjà en train de stresser à l’idée de passer des heures avec ton enfant et donc à avoir encore moins de temps pour toi !

Rassure-toi tout de suite, peu de temps suffit du moment que c’est en pleine attention et vraiment centré sur lui. 15 min au gouter à papoter avec lui de ses kiffes du jour ou 15 min d’histoire au coucher ou 5 min de danse et de chant ensemble et ça peut suffire !
C’est parfois difficile à faire surtout quand on a de plus en plus de mal à les supporter et que l’on n’a plus vraiment envie d’être avec eux tellement il nous énervent. J’en sais quelque chose, encore une fois, on ne crée pas le Club des parents dépassés par hasard ! Avec ma fille ainée les journées viraient à l’enfer avec plus de 10 crises par jour… clairement je n’avais pas du tout envie de passer plus de temps avec elle !
C’est pour cela que je te recommande d’abord de prendre soin de toi comme priorité des solutions pour sortir du burn-out maternel ou pour me pas y retourner… c’est ce que j’ai d’abord fait, en la mettant plus à la crèche, à la cantine, en la confiant à son père ou à la famille, pour passer du temps à recharger d’abord ma propre batterie et ainsi être plus en capacité d’absorber ses crises et ses besoins.
J’ai ensuite choisi de ne passer que des temps courts avec elle, juste des 5 min pour lire une histoire ou dessiner ou jouer à un jeu que moi aussi j’aimais, pas juste elle. Petit à petit, je me suis sentie de plus en plus capable de passer 10 min, puis 30 min, puis 2h …
Et en comblant ainsi chez eux ce “besoin de nous”, en étant nous-même capable de le faire, on aide progressivement notre enfant à s’apaiser. Et cela devient une belle chaine de transmission d’énergie positive plutôt qu’un cercle vicieux d’énergie négative.
Encore une fois, je sais qu’aujourd’hui tu pourrais me répondre que tu n’as pas le temps. C’est exactement ce que j’ai dit moi-même à l’époque quand on m’a dit de d’abord m’occuper de moi!
Si c’est le cas, réfléchis juste à, aujourd’hui, combien de temps tu passes à gérer les crises et les colères? 15 min? 1h? 4h? Et si ce temps tu le passais plutôt à prendre soin de toi et/ou à faire un jeu avec ton enfant, regarder un dessin animés ou lire une histoire? N’est-ce pas du temps plus agréablement passé? Ce temps il existe, mais il est utilisé ailleurs, à des choses plus négatives … ça peut aider de le voir comme un transfert de temps plutôt que comme du temps à rajouter 😉
Résumé des 3 solutions pour sortir du burn-out maternel
1 – Prends soin de toi
2 – Rends ton enfant autonome
3 – Passe du temps à interagir avec ton enfant
= faire baisser le niveau de stress de tout le monde et rendre ainsi la vie de famille beaucoup plus supportable voire même agréable ! 🌈

Pour l’avoir vécu personnellement, je rajouterai enfin que même quand on prend déjà soin de soi et de ses enfants en passant du temps avec eux, il peut tout de même nous arriver d’être complétement épuisé(e) et de nous sentir dépassé(e). Dans ces cas là, pas 50 solutions … soit ce que je fais n’est pas réellement ce qui me fait du bien et je dois réfléchir à une nouvelle liste d’activités pour prendre soin de ma batterie, soit ce sont les bonnes choses et je dois les faire encore plus 😉
Sortir de cette situation et retrouver bien-être et sérénité en famille est plus que possible et je te félicite de vouloir commencer aujourd’hui ! Tout ça prendra du temps alors laisse toi ce temps pour mettre ça en place … Une action à la fois … et un progrès à la fois … 😌
Dans tous les cas, c’est possible, je l’ai fait il y a maintenant 10 ans. Aujourd’hui, on fait des temps calme de 2h, mes filles font les tâches ménagères (même mon ado et sans contrepartie !!!), font seules leurs devoirs et leur routine le soir quand elles rentrent de l’école, respectent et comprennent ce que veulent dire les mots temps et espace pour soi et les temps que l’on passe ensemble maintenant sont des temps de kiffe, de balade, de jeu, de dessin-animé, de papoti, … si on m’avait promis ça il y a 10 ans, quand je pleurais tous les jours, je ne l’aurais jamais cru. Et pourtant c’est bien ma réalité aujourd’hui.
Et c’est aussi celle d’autres familles que j’accompagne chaque jour à faire et à voir que ça peut être beaucoup plus facile d’être maman. Garde confiance en toi et en ta famille.
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Prends bien soin de toi et à bientôt ! – Sandrine – Ta coach 🌈
Bonjour
Merci pour cet article très intéressant et complet. Je m’appelle Marine et je viens de créer un blog sur le bien être parental. Je trouve qu’on ne l’aborde pas assez, on parle plus d’éducation bienveillante, de parentalité positive donc ce que doivent mettre en place les parents pour une meilleure relation avec leurs enfants, sauf que certains parents ne se reconnaissent pas dans ces nouvelles pratiques et méthodes éducatives et je pars du principe qu’il faut prendre soin de soi pour pouvoir prendre soin de ses enfants, c’est un peu ce que vous défendez et j’ai été agréablement surprise que cette notion vous importe aussi. Les problématiques récurentes des parents sur votre site me touchent et m’encouragent à écrire des articles en rapport avec leurs attentes, notamment la question du burn out maternel et l’importance de passer du temps avec son enfant pour mieux gérer le stress.
Merci de m’avoir lu et je partagerais volontiers votre site à d’autres parents qui n’ont pas encore eu le privilège de vous connaître.
Bonjour Marine et merci pour votre retour et votre intérêt 🙂
Le bien-être parental est, en effet, une de mes préoccupation principale, car il est le point de départ de toute envie de changement quel qu’il soit.
Au plaisir de vous lire et d’échanger à nouveau avec vous bientôt 🙂
Bonjour
Je n’en peux plus de ce conseil « prendre soin de soi ». Quand la famille n’est pas là, quand les personnes que l’on est prêt à payer à prix d’or ne sont pas là, comment souffler? Comment pouvoir prendre un peu de temps ne serait ce que pour prendre une douche ou se rendre chez le médecin ? Non, vraiment, je n’aime pas ce conseil « prendre soin de soi » car dans mon cas, je n’y arrive pas. J’ai beau demander de l’aide, j’attends toujours.
Bonjour,
Je comprends complètement! On n’en peut plus de l’entendre parce qu’on l’entend trop et que ces mots finissent par nous dégouter ET parce qu’on n’arrive pas à le faire.
Et pour autant, ça reste une des clés pour tout mieux supporter et pour améliorer les choses.
1 – Si je prends soin de moi, mon niveau d’énergie est bon et je vais bien.
2 – Si je vais bien, les choses, ma vie, mon enfant m’énervent moins.
3 – Si mon enfant m’énerve moins, je m’en prends moins souvent à lui.
4 – Si je m’en prends moins souvent à lui, il se sent plus aimé.
5 – S’il se sent plus aimé, son comportement change et s »améliore
6 – Si son comportement s’améliore, je vais mieux …
Et ainsi de suite dans ce cercle vertueux…
Je n’ai pas toujours pensé ça et il m’a fallu beaucoup de temps avant de le comprendre et de l’intégrer. Avec une petite fille de 4 ans et des jumelles bébé, une famille dans un autre pays et aucun budget pour de l’aide, j’avais envie de sauter à la gorge de chaque personne qui me disait ces mots! Et en même temps, clairement, personne n’allait « venir me sauver » ni m’alléger mon quotidien. Donc ça ne servait à rien d’attendre je ne sais quoi et c’était à moi de faire ou rien ne se passerait jamais.
Une fois que j’ai changer ma manière de voir et que j’ai mis mon énergie à ce point de départ, les choses ont commencé à aller mieux.
Et avec le recul, et ton commentaire, je me dis que peut-être que si on transformait « prendre soin de soi » en « Fais de toi une priorité », ça changerait peut-être?
Quoi qu’il en soit, « Faire de soi une priorité », est une vraie stratégie efficace pour reprendre sa vie en main, arrêter d’attendre et de subir tout en faisant du bien aux autres. Mais ce n’est clairement pas facile à faire car ce n’est pas une habitude, et qu’il faut tout repenser! Poser ses priorités, faire du tri, repenser son temps … ça a commencé par des choses du genre « au lieu de passer l’aspirateur, je m’offre une bonne douche bien chaude. Tant pis ce sera sale par terre mais au moins moi, je serai propre ». ou encore « Tant pis, ce soir on mange des pâtes pour la 4ème fois d’affilé et les enfants ne prennent pas de douche, mais j’ai besoin qu’ils soient au lit tôt pour avoir toute ma soirée de repos pour moi » … je ne savais pas le faire, je n’y arrivais pas et j’ai eu de l’aide pour faire ça au départ et radicalement changer certains aspects de ma vie.
Et c’est pour ça que c’est mon métier aujourd’hui : parce que c’était trop précieux et qu’il faut que d’autres franchissent le pas pour aller mieux et de sortir de ce cercle infernal!
Oui je suis d’accord. Cet article est d’une niaiserie, bien loin de la réalité du quotidien avec tjrs de grande théorie utopique façon bisounours.
Bonjour et merci de partager ce point de vue qui contribue à la réflexion autour de ce sujet du « Prendre soin de soi ».
J’ai très simplement envie de répondre que j’ai écrit cet article quand mon ainée avait 8 ans et mes jumelles 4 ans et que je démarrais mon activité de coach parental à mon compte. Ce que je décris et propose est donc on ne peut plus ancré dans la réalité du quotidien.
Et par expérience personnelle et professionnelle, j’ai compris que bien souvent ce que l’on rejette est en fait ce dont on a le plus besoin …
Au plaisir
Je vous comprends..Pas de relai, famille absente,aide de mamans en couple ,avec baby sitter,grands parents,cousine,tata,voisine qui les aident, inexistantes si c est pas donnant donnant !! Quand tu es maman solo isolée, personne ne t aide ni ne te soulage sauf si en plus des soutiens qu elles ont déjà tu leur apporte un intérêt de plus! Souvent on te dit » ma pauvre ça doitpas etre facile toute seule,je suis pas dispo avec le boulot..avec la manucure refaite tous les mois, le coiffeur 1fois par moi,.et qui te raconte leur dernier assage ou soin chez l esthéticienne!! Elles se plaignent plus que toi de pas avoir du temps pour elles!!
Oui en général ceux qui se plaignent à tout rompre ont souvent le mari, la famille et des nourrices qui sont là en renfort!! Combien de fois j’ai vu des maman totalement apprêté se plaindre de ne pas avoir pu aller chez le coiffeur ou au cinéma à cause de mamie qui a décommandé !! Et le pire ce sont celles dont l’enfant est invité à droite à gauche pour des « soirées pyjama » qui osent dire que c’est difficile de s’organiser pour le ….déposer chez le copain ou la tata!!!
Je me reconnais parfaitement dans ce message et c’est une pure vérité ! Personne meme pour 1h.. je sature
Je me sens seule devant un enfant impréhensible et je ne suis pas du tout aider par mon mari
J’ai peur de tomber dans la déprime …
Bonjour et merci pour ton commentaire qui, je suis sûre, va résonner chez beaucoup d’autres parents/mamans.
C’est une peur bien normale lorsque l’on se trouve dans cette situation, je l’ai connu et je sais comme c’est difficile de rester positif et d’avancer quand on se sent découragée et qu’on n’en voit plus le bout …
On ressent ces émotions et la peur arrive parce que l’on se sent démunie et seule.
Et, bonne nouvelle, même si ta situation te semble peut-être désespérée, tu peux t’entourer de personnes aidantes ET t’outiller pour comprendre, changer et retrouver plus de joie et de sérénité dans ton rôle de parent. Quand on se sent entouré(e) de personnes qui avancent dans la même direction que nous ET que l’on sait quoi faire dans quelle situation, la peur et la dépression n’ont plus de raison d’être.
Ce n’est pas juste un rêve illusoire, c’est un vrai processus de changement qui vaut vraiment la peine d’être accompagné(e) pour enfin être le parent que l’on a vraiment envie d’être et avoir la vie facile de parent que l’on veut et que l’on mérite.
Avec toute mon affection et mes bonnes ondes réconfortantes vers toi, prends bien soin de toi <3
Le lien prendre rdv en fin d’article ne marche pas…HELP
Bonjour et merci pour ton signalement 🙂
En effet, le lien ne marchait pas et c’est maintenant réparé
Au plaisir 😀 !
Bonjour,je n’ ai plus aucune ressources,du burn out que personne n’a entendu je suis passée à la dépression,personne pour me relayer et mon fils de 6 ans qui me répond mal,me dicte tous faits et gestes, s opposé à tout,est plus négatif que moi encore et ne veut rien faire à part télé, moi qui ait tant besoin de ballades dehors en nature,il râle,se plaint meme quand moi j’arrive à me ressourcer et enfinpasser un bon moment ! Moi je ne peux plus et si ça ne change pas j envisagé dee confier à une famille d’accueil! Sinon il finira orphelin car je ne peux plus
Bonjour, merci beaucoup pour cet article qui est très juste.
J’ai fait un burnout quand mon fils avait 1 an. Ce fut une expérience très douloureuse mais j’ai beaucoup appris sur moi-même et la nécessité de prendre soin de soi avant tout pour pouvoir prendre soin des autres. Quand on y pense, c’est assez logique, mais je n’y arrivais pas. J’ai découvert la métaphore de l’avion pendant cette période de burnout. En avion, en cas d’incident, l’adulte doit d’abord mettre son masque et ensuite aider l’enfant à mettre le sien. S’il vous arrive quelque chose, l’enfant sera davantage en danger, si bien qu’il est indispensable de respecter ces règles de sécurité.
En revanche, il est vrai que trouver le moyen de prendre soin de soi est un processus qui peut prendre du temps et qui nécessite l’aide des autres ou de faire certains choix radicaux. Par exemple, j’ai choisi de lâcher un travail très bien payé avec un contrat de 40h par semaine pour un poste à 80% moins bien payé, mais moins stressant et me permettant d’avoir plus de temps libre. On demande également plus d’aide extérieure même si j’ai plus de temps qu’avant et que je suis en bien meilleure forme. Etc.
Mon fils va avoir 4 ans et je sens que j’ai atteint un équilibre qui est peut-être parfois fragile, mais qui, au moins, existe bel et bien maintenant.
Je ne dis pas que c’est toujours facile. Même comme cela, j’ai tout de même des périodes fatigantes pour diverses raisons, mais j’ai l’impression d’enfin réussir à lever le pied avant de m’écrouler de fatigue.
C’est un chemin et un apprentissage en continu.
Bonne continuation!
Bonjour, j’aime bien votre vidéo qui passe le parent en souffrance en priorité. Je suis fatiguée des sites de bisounours où on vous dit « comprenez votre enfant, ça ira mieux ». Tout autour de l’enfant et rarement autour du parent. A la lecture de ces sites, j’ai mis un mot sur ce que je suis probablement « un parent toxique ». Du coup, je me sens encore plus mal. Je me suis inscrite à un club de théâtre, et j’en fais une fois par semaine. C’est une bulle d’air appréciable. Hélas, pas suffisante. J’ai l’impression qu’en dehors de ce moment, je n’ai que des corvées. Oui, je peux en reporter certaines mais celle qui me rend hystérique, c’est la corvée des devoirs avec ma fille et celle-là, on ne peut pas l’abandonner, sous peine d’accumulation des lacunes. Je me bats pour faire les devoirs et même quand elle met de la bonne volonté, je n’ai pas toujours la patience quand elle ne comprend pas quelque chose, parce qu’en fait, ça ne m’intéresse pas de la faire travailler. Elle a 10 ans et je rêve qu’elle travaille toute seule. Mais c’est une petite fille qui n’a aucune autonomie. Même pour s’habiller le matin, il faut superviser. J’ai l’impression d’être condamnée à avoir un bébé à perpétuité.
Alors cet article est bon pour ceux qui comme d’habitude sont ….entourés !! Je dois le dire je trouve que bien souvent quand on parle du fait de ne plus supporter les enfants on nous répond « prend soin de toi »!! Ce conseil n’est pas du tout adapté dans la vie réelle de tous! Et d’ailleurs une des personnes soulève le point de la famille proche aux abonnés absents, ou des baby sitter trop chères pour tous !! Sans oublier que le père n’est pas toujours une personne qui s’implique bien au contraire !!! Et votre réponse a été totalement décalé selon moi ! Vous lui faites une lsite des raisons pour lesquelles il est important de penser à soi !! Ok mais cette liste n’est pas une solution en réalité et enferme la personne dans son problème ! On sait que l’on a besoin de temps pour soi sauf que tout les problèmes ne se résume pas à prendre du temps pour soi ! D’ailleurs ce qui fonctionne pour l’un ne fonctionne pas pour un autre ! Et ce n’est pas parce que l’on décide de surfer sur une mode que l’on est forcément compétent!
Bonjour, je suis maman seule (vraiment seule) d’un garçon de presque 10 ans. Je suis devenue une mère toxique. Je ne supporte plus mon fils. Je suis tellement à bout, que je pleure chaque jour. Je ne me sens à nouveau bien que lorsqu’il n’est plus avec moi (lors d’un récent séjour à l’hôpital). Il ne respecte aucun des règlements (que nous avons établis ensemble, car je ne veux pas qu’il se sente obligé sans comprendre). Il ne me respecte pas. Il se bouche fréquemment les oreilles quand je veux lui expliquer quelque chose calmement. Il me coupe la parole et cherche toujours à se justifier pour tout et pour toutes ses erreurs. Il se considère mon égal pour tout et compare ses actions aux miennes. Il n’écoute que sous l’effet de la peur, quand « je pète les plombs » et me fâche sérieusement après lui avoir maintes fois demandé quelque chose (de simple comme ranger ses vêtements étalés sur le sol, ou de venir dans la pièce voisine dans laquelle je me trouve). Je n’ai plus envie de m’occuper de lui et songe sérieusement pour mon salut et le sien à le placer dans un internat. C’est tout le contraire de ce que je me suis représenté sur notre relation quand il était encore petit. Mais là je suis en train de perdre tout espoir. Si vous avez une solution miracle, je suis preneuse.
Bonjour et déjà bravo et merci d’oser te confier ici.
Des solutions « miracles »… J’entends souvent ce mot « Miracle » et je le comprends. On est parfois tellement empêtré dans notre quotidien que l’on voudrait qu’un coup de baguette magique vienne tout effacer. Et pour le vivre au quotidien dans mes coachings auprès de familles dans ta situation, je sais que changer profondément les choses dans la durée et l’engagement est bien plus efficace à long terme que la baguette magique.
Des solutions existent oui! Beaucoup de solutions !
Je ne sais pas ce que tu as déjà tenté jusque là, ni où tu habites pour savoir ce qu’il pourrait y avoir autour de toi pour venir te soutenir.
Des associations dédiées, des professionnels, des accompagnants, des cercles de parents, des coachs en parentalité… des solutions il y en a.
Réparer et prendre soin d’une relation parent-enfant qui s’est abimée c’est vraiment possible mais rarement seul(e). C’est souvent bien trop lourd à porter pour un parent. Accepter de se faire accompagner est un plus grand gage de réussite. Et peu importe le budget : ça peut aller d’une coach parentale à des associations qui proposent des choses gratuites ou peu chères.
Pour répondre donc en conclusion à ta question : la solution que je te propose, renseigne toi sur ce qui existe autour de toi, prends un premier rdv pour avoir plus d’info, choisis l’endroit ou la personne avec qui tu as le meilleur feeling et lance toi dans un programme ou un suivi dédié aux parents. Ensuite laisse toi guider par ces personnes et avance un pas à la fois, un jour à la fois, une réparation à la fois.
Pour les parents qui font cette démarche, et qui la tiennent jusqu’au bout (c’est très importent de préciser jusqu’au bout), on assiste oui, à ce qu’eux-mêmes appellent des miracles, parce qu’ils se sont retrouvés et que l’ambiance à la maison n’a plus rien à voir.
Et si tu en ressens l’envie, n’hésite pas aussi à me laisser un message au 07-68-08-60-10 et on pourra en discuter ensemble. Je suis coach parentale aujourd’hui, mais il y a 10 ans, j’étais comme toi, désemparée par cette relation avec ma fille qui n’était clairement pas ce que j’avais imaginé pour elle ni pour moi … Aujourd’hui tout va bien et j’accompagne d’autres familles à se reconstruire grâce justement à toutes les solutions qui existent 🙂
Prends bien soi de toi et tu n’es pas seule